Développer le potentiel de tous les enfants – #Leplusimportant https://leplusimportant.org Think Tank et Action Lab indépendant et innovant qui redonne du pouvoir d'agir à chacun Wed, 03 Mar 2021 10:59:12 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.5.2 https://leplusimportant.org/wp-content/uploads/2021/01/cropped-unnamed-32x32.jpg Développer le potentiel de tous les enfants – #Leplusimportant https://leplusimportant.org 32 32 L’Europe face aux défis sociaux de l’économie numérique https://leplusimportant.org/europe-et-investissement-social/ Fri, 26 Jul 2019 16:15:56 +0000 https://leplusimportant.org/?p=3138 L’Europe face aux défis sociaux de l’économie numérique

Présentation de nos travaux

A l’heure où les transformations numériques bousculent un grand nombre de nos concitoyens, l’Europe peut-elle devenir enfin un vecteur de justice et de protection sociales ?

Conçue historiquement comme un projet d’émancipation des Européens, l’UE est à l’inverse de plus en plus perçue comme un moteur d’évolutions qui, loin de protéger les travailleurs, nourrissent au contraire leur insécurité sociale et économique.

Cette situation n’a pourtant rien d’une fatalité. Les tendances de fond qui touchent les citoyens de l’Union (évolutions de l’emploi vers plus de flexibilité voire de précarité, disruptions technologiques, inégalités et polarisation croissantes entre territoires et entre travailleurs….) concernent tous les Etats et appellent des actions à l’échelle européenne. Et de fait l’UE dispose de leviers d’action potentiellement puissants, bien que peu utilisés.

Dans ce contexte, il est essentiel, voire vital, de réaffirmer la nature indissociablement sociale et économique du projet européen, condition nécessaire pour que les citoyens y adhèrent à nouveau. Pour y parvenir, il convient d’établir un véritable programme d’action, concret et opérationnel.

Celui-ci doit reposer sur une ambition fondamentale : mettre l’Europe au service du pouvoir d’agir et de l’autonomie pour donner un avenir à chaque Européen. Il s’agit de développer les capacités et les compétences des personnes peu qualifiées ou en risque de déqualification, et permettre à chaque membre de la prochaine génération d’être suffisamment « armé » pour trouver sa place dans l’économie et la société numériques.

Cette ambition répond à un triple impératif économique, social et politique. Un impératif économique pour renforcer la compétitivité de nos entreprises, via une main-d’œuvre qualifiée. Un impératif social pour garantir à chacun l’employabilité lui permettant de trouver sa place dans l’économie numérique. Un impératif politique, à l’heure où l’aggravation des inégalités et du sentiment d’insécurité économique nourrit les populismes, pour lutter contre les inégalités, rassurer nos concitoyens sur leur avenir et renforcer notre cohésion sociale.

Ce programme d’action pourrait s’articuler autour de trois priorités majeures : (1) promouvoir la régulation du droit du travail au service de la justice sociale, (2) investir dans les capacités et les compétences au service de l’employabilité de chaque Européen et (3) ancrer le pouvoir d’agir dans les territoires.

  1. Tout d’abord, l’Europe doit pouvoir développer les protections des travailleurs touchés par les évolutions numériques, celles existantes dans chaque pays n’étant pas adaptées aux nouvelles formes de travail émergentes, comme celles des plateformes d’intermédiation de type Uber ou Deliveroo. Appliquons ainsi les principes fixés par la charte sociale européenne, qui doivent être intégrés dans le socle juridique de l’Union et enrichis par une doctrine sociale permettront à la Cour de justice de l’UE de développer sa jurisprudence sociale. Un compte personnel d’activité pourrait aussi être mis en place à l’échelle européenne -et des Etats-membres-, devenant un instrument privilégié d’action coordonnée des échelons nationaux et européen en matière de droits sociaux et de portabilité de ces droits, pour faciliter les parcours professionnels et la mobilité des travailleurs européens. Une assurance chômage européenne, en complément des assurances nationales, notamment en cas de récession, enverrait par ailleurs en effet le signal politique fort et très tangible sur la capacité de l’UE à apporter des nouveaux droits aux travailleurs et à contribuer aux mécanismes de solidarité en Europe (sans induire de transferts permanents entre Etats).
  2. Ensuite l’Europe pourrait lancer un “Fonds européen d’investissement social” destiné à des projets d’investissement social financièrement viables et financé par l’émission d’obligations sociales européennes. L’enjeu est de développer les capacités et les compétences de chaque Européen dans une perspective d’encapacitation, d’employabilité et d’autonomie dans son parcours professionnel et de vie. C’est le cas par exemple pour les dispositifs d’accueil de la petite enfance et d’apprentissages précoces, qui sont l’un des moyens les plus efficaces de lutte contre les inégalités. Ou dans le champ du handicap, pour relever les défis de la société inclusive (transformation des institutions, scolarisation, emploi inclusif, etc), dans celui de la conciliation entre vie professionnelle et vie familiale ou encore dans l’accompagnement des professions vers la transition numérique.
  3. Enfin l’Europe pourrait mettre le numérique au service de nouvelles formes de démocratie économiques et sociales et redonner aux citoyens européens du pouvoir d’agir au niveau des territoires. Il s’agit par exemple d’ouvrir aux acteurs territoriaux les données d’intérêt général des acteurs du numériques pour développer des services de proximité pour les citoyens. Ou encore de développer des négociations sociales à l’échelle des territoires, pour y embarquer, au-delà du tête-à-tête entre les salariés et leur entreprise, tout le tissu économique d’un territoire. Ou enfin de renouveler le projet mutualiste, en commençant par l’adoption d’un statut européen des mutuelles, pour permettre aux citoyens de participer à la gestion des biens communs, notamment environnementaux.

Ces axes d’action concrets pour l’Europe montrent combien le numérique, avec tous les défis sociaux qu’il pose aux citoyens de l’Union, est peut-être aussi le bon levier pour que l’Union économique et monétaire devienne aussi une véritable Union sociale.

 

Nos propositions

rsythèse rapport défis de l'Europe Leplusimportant

 

Le 21 mai 2019, #Leplusimportant co-organise une Conférence débat à Sciences Po avec l’école et Sauvons l’Europe ! sur le thème “Europe : quelles réponses aux défis sociaux de l’économie numérique”.

Nos tribunes et les références à nos travaux dans la presse

 

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Numérique et école inclusive https://leplusimportant.org/numerique-et-ecole-inclusive/ Fri, 26 Jul 2019 16:00:35 +0000 https://leplusimportant.org/?p=3171  

Numérique et école inclusive

Notre série de webinaires

La crise du Covid et le confinement ont bouleversé les pratiques de l’école. Catalyseur de ces bouleversements, le numérique est désormais au centre du jeu. Va-t-il le rester ? Que va-t-il changer en matière d’inégalités ? De pratiques éducatives et de place des enseignants ? De relations parents-profs ? Est-ce un poison ou un remède pour l’école inclusive ?

C’est pour traiter ces questions que le pôle “Numérique et école inclusive” de #Leplusimportant, poursuivant ses travaux en la matière, organise une série de 6 webinaires ouverts au public réunissant experts et acteurs de terrain. 

#1 Vendredi 22 mai 2020, 11h30-12h30

Covid et inégalités scolaires : les pratiques numériques des profs, poison ou remède ? 

Avec Gaele Regnault, fondatrice et directrice LearnEnjoy, Florence Rizzo, Co-fondatrice Synlab et Maryse Chrétien, présidente AGEEM

#2 Vendredi 19 juin 2020, 11h30-12h30

Covid et pratiques numériques éducatives : une nouvelle donne pour l’école inclusive ?

Avec Christine François, déléguée académique au numérique de Nancy-Metz, Claude Tran, président de Inversons la Classe ! , et Sylvain Parquet chef de service inclusif en IME Fondation OVE

#3 Vendredi 26 juin 2020, 11h30-12h30

Collaborations parents-profs : un nouveau souffle suite à la crise ?

Avec Soulié Marie, professeur de Français, COLLEGE DANIEL ARGOTE, Orthez, Françoise Briand, Secrétaire générale Fédération des conseils de Parents d’élèves – FCPE, Françoise CARRAUD, Maître de conférences en sciences de l’éducation à l’ISPEF de l’Université Lumière Lyon 2

 

#4 Vendredi 18 septembre 2020, 11h30-12h30

Répondre aux besoins éducatifs particuliers à l’ère du Covid : que peut le numérique ?

Diane CABOUAT, Vice-présidente du Conseil national consultatif des personnes handicapées José Puig, chargé de mission éducation à la Délégation interministérielle pour l’autisme et les troubles du neurodéveloppement Charles Tijus, professeur à Université Paris 8 Vincennes – Saint-Denis et directeur du Laboratoire des usages en technologies d’Information Numériques (LUTIN)

#5 Vendredi 30 octobre 2020, 11h30-12h30

Covid : une révolution pour les missions et rôles des profs au 21ème siècle ?

Avec Saliou Sall de L’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture, Ange Ansour co-fondatrice et directrice de Les Savanturiers et RAYOU PATRICK, Sociologue de l’éducation

#6 Mercredi 25 novembre 2020, 14h-15h30

Le numérique à l’heure du Covid : une nouvelle donne pour l’école inclusive ? 

 

avec Christine FRANCOIS, DANE , ACADEMIE DE NANCY METZ RECTORAT, Charles Tijus, Université Paris 8, Christelle Valette, coordonnatrice d’Ulis Collège , Ministère de l’Éducation nationale et de la Jeunesse, Rémy Challe, directeur général d’EdTech France et Jacky Bowen, administrateur de la Fédération des conseils de Parents d’élèves – FCPE

#6 Mercredi 20 Janvier 2021, 11h30-12h30

Atelier d’intelligence collective : Numérique et école inclusive à l’heure du Covid : quel bilan, quelles perspectives ? 

NOTRE RAPPORT ET NOTRE DÉMARCHE

L’intelligence artificielle (IA) offre de nombreux apports en faveur d’une école véritablement inclusive, qui assure le développement des capacités de chaque élève. Une école qui conjugue aussi la personnalisation répondant à la diversité des besoins spécifiques et la garantie d’un socle partagé de savoirs.
Mais l’IA n’est pas un sujet parmi d’autres. S’inscrivant dans une tendance de fond de «datafication» de notre société, elle est amenée à prendre une place considérable à terme, quelles que soient les réticences que l’on puisse avoir. L’IA recèle par ailleurs, bien qu’étant encore en phase de maturation, un potentiel considérable de transformation de notre système éducatif, dans un sens qui pourrait être très positif mais aussi potentiellement dangereux. Il importe dès lors d’en prendre à la fois la
mesure et le contrôle.
C’est l’enjeu de notre rapport, élaboré depuis plus d’un an dans une démarche de co-construction avec de nombreux acteurs de la communauté éducative, qui a deux objectifs principaux. Le premier est d’éclairer sur le potentiel de l’IA en éducation, en présentant à la fois son potentiel et ses risques, qui appellent une vigilance particulière. Le second est de proposer un véritable plan d’action de mesures à prendre dès maintenant qui permettront de mettre l’IA demain pleinement au service des enseignants, et plus largement de toute la communauté éducative, pour construire une école plus inclusive et mieux à même d’assurer ses missions fondamentales.

Un potentiel majeur pour une école plus inclusive

Les premières expérimentation de solutions IA sur le terrain font apparaître un certain nombre d’apports significatifs pour articuler l’accompagnement adapté de chaque élève et la consolidation d’un socle partagé de savoirs et de compétences. Dans un cadre commun à l’ensemble des enfants, l’IA permet à l’enseignant, de personnaliser plus avant les outils d’apprentissage et de les ajuster en temps réel selon la situation de chaque élève.
Les champs d’usages mis en évidence par les expérimentations sont multiples : aide à la décision pour les enseignants comme pour les élèves (assistants personnels, chatbots, etc.), identification et compréhension de certaines difficultés et obstacles d’apprentissages (handicaps, décrochage), aide à la personnalisation des pédagogies et des ressources éducatives, apprentissages en autonomie des élèves (renforcement, auto-évaluation, etc.), voire modélisation des cadres disciplinaires.
D’autres progrès sont à attendre du développement de dispositifs marquées par la convergence de l’IA, de la robotique et de la réalité augmentée, par exemple pour l’entraînement d’habiletés motrices qui nécessitent une pratique cohérente et étendue, comme danser, jouer d’un instrument de musique ou même apprendre des procédures techniques.
Au total, ces illustrations montrent comment l’IA, bien qu’étant encore en phase de maturation, présente un potentiel considérable de transformation de notre système éducatif.

Un sujet appelant une vigilance particulièrement rigoureuse

Mais si l’IA marque une rupture forte par rapport aux outils numériques actuellement mobilisés, elle appelle de ce fait une vigilance particulièrement rigoureuse, et ce d’autant plus que le champ de l’enseignement est fondamental et sensible.

  • une vigilance technique et scientifique à l’égard notamment des biais implicites que les solutions d’IA sont susceptibles d’embarquer ;
  • une vigilance pédagogique pour se prémunir contre les risques d’effets pervers d’une utilisation inconsidérée de l’IA ;
  • une vigilance éthique et juridique pour empêcher l’usage incontrôlé des données personnelles des élèves, auxquelles l’IA a massivement recours ;
  • une vigilance sociale, afin d’éviter un accroissement des inégalités scolaires ou un
    affaiblissement du lien social ;
  • une vigilance économique et stratégique, pour limiter les risques de perte de contrôle sur notre système éducatif et/ou de dépendance envers des infrastructures dont la soutenabilité économique et écologique est incertaine ;
  • une vigilance politique, pour que l’IA ne devienne pas un vecteur de flexibilisation et de précarisation de la condition enseignante.

Une démarche de co-construction

Ce rapport présente nos propositions concrètes relatives aux modalités possibles pour mettre l’IA au service des enseignants pour favoriser une école plus inclusive. Chacune des propositions concrètes est documentée et assortie d’une première évaluation des impacts et des coûts attendus.
Nous avons fait le choix d’une démarche de co-construction des propositions, afin de bâtir autant que possible une plateforme de mobilisation de la communauté éducative autour d’un plan d’action partagé.
Un premier jet de proposition a été élaboré à partir d’entretiens et d’une consultation publique en ligne et mis une première fois en discussion lors d’un atelier préparatoire. Le fruit de ces travaux a été soumis à l’examen d’une centaine d’acteurs clés de notre système éducatif et d’enseignement supérieur lors d’un colloque de travail au Collège de France le 25 mars 2019, ouvert par le Ministre de l’Education nationale et de la Jeunesse et par la Secrétaire d’Etat chargée des Personnes handicapées.
Au cours de cet événement et des échanges qui se sont tenus les mois suivants, les principaux acteurs du champ de l’enseignement, de la recherche, des organisations représentatives de différents métiers de la communauté éducative, des collectifs d’enseignants ainsi que d’autres acteurs publics et privés et un panel d’experts, ont précisé et enrichi les propositions.

Une conviction fondamentale : mettre l’IA au service des enseignants

Notre conviction fondamentale est que l’enjeu principal ne doit pas être de diffuser l’IA à l’école, mais de mettre l’IA au service des enseignants, pour faire réussir les élèves. En effet, indépendamment de ce qu’objectivement l’IA pourrait apporter aux enseignants, rien ne se passera s’ils ne s’approprient pas l’IA et s’ils ne sont donc pas au préalable convaincus que l’IA conforte leur liberté pédagogique. A cet égard, les critiques formulées à l’encontre du «plan numérique pour l’éducation» montrent les limites de projets centrés sur la diffusion d’équipements et non pas
sur l’appropriation par les acteurs de terrain, au premier rang desquels figurent évidemment les enseignants.

Quatre axes de propositions pour agir dès maintenant

Dès lors, il nous semble que la politique de l’IA en éducation doit s’articuler autour de quatre priorités :

  1. formaliser les objectifs de l’action publique en matière d’IA et d’enseignement, de façon à l’inscrire dans une réflexion plus large sur l’avenir de l’École républicaine et sur les finalités de l’enseignement, menée en concertation avec tous les acteurs de la communauté éducative ;
  2. mettre en place les conditions d’une diffusion plus large de solutions d’IA en enseignement, par la constitution d’un réseau de recherche et d’outils (plateformes de collecte et de partage de données), le Développement d’une offre industrielle co-construite avec la communauté éducative, le développement de dispositifs d’expérimentation collective ;
  3. outiller et accompagner les enseignants et professionnels de l’enseignement par la mise en place de formations et le partage de ressources pour les enseignants et la définition d’un socle de connaissances, de compétences et de culture technique à transmettre aux élèves ;
  1. favoriser le changement institutionnel en mettant en place un «Observatoire participatif du numérique en éducation», en renforçant la mission et les ressources du Ministère de l’Education nationale, pour définir la stratégie de recherche et d’investissement de l’IA en enseignement et en piloter la mise en œuvre et en structurer et faisant adopter un plan d’action à l’échelle européenne

 

 

Nos propositions

 

Synthèse du rapport :

rapport et proposition école inclusive

Rapport complet

rapport et proposition école inclusive

 

 

Teaser – Colloque du 25 mars 2019 au Collège de France

 

 

 

 

Vidéo de remise au Ministère de l’Education Nationale et de la Jeunesse France

 

Les interventions lors de notre colloque au Collège de France

 

Jean-Michel Blanquer, Ministre de l’Education nationale et de la Jeunesse

 

Sophie Cluzel, Secrétaire d’État chargée des Personnes handicapées

Pour voir nos autres interventions et interviews, vous pouvez consulter les chaînes YouTube de #Leplusimportant ici, et de Claude Tran ici.

 

Autres interventions sur YouTube

500 personnes étaient inscrites à notre colloque du Colloque du 11 juillet 2019 (cliquer ici)
Colloque du 11 juillet 2019 – Ouverture et Table Ronde #1 (cliquer ici)
Colloque du 11 juillet 2019 – Table Ronde #2 (cliquer ici)
Colloque du 11 juillet 2019 – Table Ronde #3 (cliquer ici)
Colloque du 11 juillet 2019 – Table Ronde #4 et Clôture (cliquer ici)
Nos tribunes et les références à nos travaux dans la presse

 

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16-18 mai 2019 – #Leplusimportant intervient à la conférence de l’Unesco sur l’IA et l’éducation à Pékin https://leplusimportant.org/conference-unesco-ia-education-pekin/ Tue, 14 May 2019 14:39:47 +0000 https://leplusimportant.org/?p=2894 L’intelligence artificielle introduit des opportunités inédites mais aussi des questionnements cruciaux dans le domaine de l’éducation. Découvrez cette thématique, abordée par #Leplusimportant, en cliquant ici.

 

 

Claude Tran et Héloïse Dufour, membres de #Leplusimportant, se sont exprimés à la conférence internationale sur l’intelligence artificielle en Éducation organisée par l’UNESCO à Pekin entre les 16 et 18 mai 2019.

Pour lire l’article de Claude Tran sur le sujet et voir le témoignage de Héloïse Dufour, cliquez ici.

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19 Novembre 2018 – Promotion de la démarche scientifique par l’engagement des chercheurs https://leplusimportant.org/promotion-de-la-demarche-scientifique-par-lengagement-des-chercheurs/ Mon, 19 Nov 2018 11:18:59 +0000 https://leplusimportant.org/?p=2042 Le 6 septembre, #Leplusimportant organisait au Collège de France un colloque sur la promotion de la démarche scientifique dans la société grâce à la mobilisation des chercheurs. Rassemblant les principaux acteurs de la culture scientifique, technique et industrielle, le colloque a donné lieu à débats et propositions concrètes. Retrouvez ci-dessous l’intervention des ministres ainsi que le document de propositions débattu au cours du colloque

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Promotion de la démarche scientifique pour tous https://leplusimportant.org/empowerment-par-la-demarche-scientifique/ Thu, 06 Sep 2018 11:10:47 +0000 https://leplusimportant.org/?p=2172  

Engager les chercheurs : un levier clé pour diffuser la culture scientifique

 

Présentation de nos travaux

Mieux diffuser la culture scientifique, technique et industrielle (CSTI) est un enjeu majeur pour notre pays. Dans ce contexte, l’engagement des personnels de recherche constitue un levier essentiel, pour lequel nos voisins montrent la voie depuis des années. Quelles solutions concrètes mettre en oeuvre pour favoriser l’engagement des chercheurs à large échelle dans la médiation scientifique ?

Au-delà d’un état des connaissances transmis aux citoyens par les chercheurs, la culture scientifique constitue un ensemble de processus réflexifs favorisant la compréhension des phénomènes naturels et culturels par chacun et stimulant l’innovation. La diffusion de la CSTI est ainsi cruciale pour notre pays à plusieurs titres :

  • démocratique, car dans le monde de la post-vérité et des fakes news qui est le nôtre, “à l’heure de l’afflux massif d’informations, nous devons tous être capables de “réfléchir comme des scientifiques” (OCDE, PISA) ;
  • économique, car dans une économie de la connaissance, la culture scientifique est au coeur de notre potentiel d’innovation et de croissance ;
  • social, enfin, car il est essentiel que la culture scientifique, loin d’être l’apanage d’une élite soit au contraire partagée par tous, y compris les plus défavorisés.

En France nous sommes, eu égard à ces enjeux, encore loin du compte. 90% des lycéens ignorent comment les connaissances sont produites. Inversement, seuls 10% des chercheurs sont vraiment actifs en matière de médiation scientifique. Comment y remédier ?

Nos propositions

propositions Leplusimportant démarche scientifique

 

Héloïse Dufour, Directrice du Pôle Démarche scientifique de #Leplusimportant, présente nos travaux.

 

Interventions lors de notre colloque au Collège de France

Jean-Michel Blanquer, Ministre de l’Education nationale et de la Jeunesse

Frédérique Vidal, Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation

Cédric Villani, Vice-président de l’OPECST

 

Autres interventions sur YouTube

Alain Prochiantz, Administrateur du Collège de France : cliquer ici
Héloïse Dufour, Directrice du Pôle Démarche scientifique de #Leplusimportant : cliquer ici
Antoine Petit, Président directeur général du CNRS (intervention) : cliquer ici
Antoine Petit, Président directeur général du CNRS (interview) : cliquer ici
Dominique Brossard, Chair of the Department of Life Science Communication, University of Wisconsin-Madison : cliquer ici
Dominique Gillot, Présidente du Conseil National de la CSTI : cliquer ici
Hubert Reeves, Astrophysicien : cliquer ici
Participants du colloque : cliquer ici

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